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La cigarette électronique en avion : quelles sont les règles à suivre ?

règle à suivre

En à peine plus de 10 ans, la cigarette électronique s’est imposée parmi les substituts à la cigarette classique. Pour plus d’un tiers des vapoteurs, la cigarette électronique répond à ce besoin de réduire leur consommation de tabac. En apportant la dose de nicotine nécessaire, elle permet un sevrage tabagique en douceur. Mais qui dit sevrage tabagique dit qu’il est parfois difficile de s’en passer. La vape ayant de plus en plus d’adeptes, il est nécessaire d’en définir les règles d’usage en société. À l’heure des départs en vacances, la question l’utilisation de la cigarette électronique en avion se pose. Petit décryptage des règles en vigueur.

La cigarette électronique en avion : ce qui est autorisé

Après avoir trouvé le modèle d’e-cigarette adapté à ses besoins, sur https://www.ecig-tests.com, le vapoteur habituel ou occasionnel préfère la prendre avec lui pour ses déplacements. Bonne nouvelle, voyager avec sa cigarette électronique est parfaitement possible. Il faut simplement respecter quelques règles.

La batterie

Comme tout appareil électronique fonctionnant sur batterie, un traitement particulier s’impose pour tout voyage en avion. Le transport des batteries est strictement interdit en soute. Le transport en cabine est autorisé, dans la limite de deux batteries ou accumulateur. Les accumulateurs au lithium ne doivent pas dépasser le seuil de 32 000 mAh pour 5 volts. Ce seuil inclut également tous les autres appareils électroniques présents (ordinateur, tablette…). De nombreuses compagnies imposent que la cigarette soit éteinte dès son entrée en cabine. Il est également interdit de recharger sa batterie en vol.

Les recharges

Les recharges de e-liquide sont autorisées en cabine ou en soute. En cabine, elles sont soumises à la même réglementation que tous les liquides : elles ne doivent pas dépasser 100ml (dans la limite de 1 litre de produits liquide dans son bagage) et doivent être présentées dans des pochettes transparentes.

cigarette électronique

La cigarette électronique en avion : le champ des interdits

Certains interdits s’imposent malgré tout aux utilisateurs de cigarette électronique. Certains sont unanimes, d’autres varient en fonction du pays visité. Pour aller plus loin dans les recommandations, indemniflight fait un point sur les règles en vigueur.

Vapoter en cabine

Il est strictement interdit de fumer à bord d’un avion. La e-cigarette ne fait pas exception. Les détecteurs de fumées risqueraient de se déclencher. Se cacher dans les toilettes ne change rien à cette règle et peut coûter très cher. Outre les détecteurs de fumée, il s’agit de savoir vivre vis-à-vis des autres passagers. Même si les experts tendent à penser que la cigarette électronique est moins nocive que son équivalent tabac, il n’est pas autorisé d’importuner ses voisins de voyage avec les vapeurs de sa cigarette. Même si la vapeur est peu intense, le parfum délicat (aux yeux de son utilisateur), le caractère confiné d’un avion n’est pas compatible avec cet usage.

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Aéroports et pays étrangers

Dans certains pays, la cigarette électronique est interdite ou soumise à de fortes restrictions. Ainsi, en Thaïlande, au Cambodge, en Inde ou à Taïwan, un vapoteur risque des peines pouvant aller jusqu’à 10 ans de prison. Le cas des aéroports est plus délicat. En France, il n’est pas interdit de vapoter dans les aéroports, mais chaque pays a ses propres règles. Pour plus de sérénité, il est préférable de vérifier les panneaux d’affichage sur place, voire de se renseigner en amont sur la réglementation locale. En dernier recours, tous les aéroports disposent d’une zone fumeur. Une fois la réglementation vérifiée, la e-cigarette correctement emportée, il vous sera possible de profiter de nombreux voyages. Et pourquoi pas joindre l’utile à l’agréable en devenant testeur pour voyage de luxe.

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